Résidence bretonne de Madame de Sévigné depuis son mariage avec Henri de Sévigné en 1644. Devenue veuve, elle y effectue de nombreux séjours. Épistolière, elle y écrit une grande partie de son œuvre.
Le musée évoque son souvenir avec notamment son portrait en pied et ceux de ses proches. L’esprit de Madame de Sévigné est également présent dans la chapelle qu’elle fit édifier en 1671, le jardin à la française tracé par Le Nôtre en 1689 et le parc (bois de décoration) dont elle avait nommé les allées. L’Orangerie abrite une exposition permanente sur les Rochers, Madame de Sévigné, son œuvre et son souvenir permettant de retracer l’itinéraire étonnant de l’un des plus illustres écrivains du Grand Siècle.