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SUZANE, CONTEUSE SUR FOND D’ÉLECTRO

Publié le 4 février 2020

Qui est Suzane ?

La question est simple mais ce n’est pas toujours facile de parler de soi (rires). Je suis née à Avignon. J’ai 28 ans. Je suis auteure, compositrice, interprète. J’aime bien dire que Suzane est une conteuse d’histoires vraies sur fond d’électro.

Quelle était votre vie avant Suzane ?

L’art a toujours été très présent dans ma vie. Dès l’âge de 5 ans, j’ai commencé la danse avant d’intégrer le conservatoire. Ensuite, j’ai débuté le chant à l’âge de 12 ans. La musique m’a toujours beaucoup nourri. Arrivée à 17 ans, quand on m’a demandé ce que je voulais faire plus tard, je savais répondre. Mais les adultes m’ont dit : « Attention, tu choisis un métier qui n’est pas évident, qui se forge sur du fantasme, de la chance ». À ce moment-là, j’ai mis mes rêves sous cloche. Je suis alors rentrée dans la vie active. J’étais serveuse, il n’y a encore pas si longtemps d’ailleurs. Histoire de payer mon loyer, d’avoir un job alimentaire. C’est un métier qui m’a beaucoup appris. Je regardais beaucoup les gens que je servais. Ça a commencé comme ça.

Aujourd’hui, vous êtes l’artiste la plus programmée lors des festivals d’été 2019…

C’est assez fou pour moi. Quand j’ai vu cela dans un journal, j’ai dû le relire plusieurs fois avant d’y croire vraiment. C’est beau parce que j’ai toujours beaucoup travaillé. C’est une sorte de reconnaissance. J’ai gagné la confiance des programmateurs. C’est une vraie chance pour moi.

Quelles sont vos inspirations ?

J’ai plusieurs influences parce que j’ai écouté pas mal de musique. Je suis un bébé des années 90, j’ai vite eu accès à Internet. J’ai écouté beaucoup de chansons françaises comme Brel et Barbara mais aussi de la musique classique notamment avec le conservatoire. Plus tard, l’électro est venu avec Daft Punk, Justice, Vitalic. C’est une musique que j’écoute encore aujourd’hui. J’écoute du rap aussi avec MC Solaar, Orelsan. J’ai trouvé mon ADN avec toutes ces influences.

La presse vous surnomme la Stromae au féminin. C’est flatteur… C’est cool parce que c’est un artiste qui a cassé

les codes. La nouvelle génération se nourrit beaucoup de cet artiste. Evidemment, j’espère qu’un jour on arrivera à dire : ça c’est du Stromae, ça c’est du Suzane. C’est un artiste que j’aime beaucoup, que j’ai écouté. C’est une comparaison qui reste très belle.

Parlez nous de votre premier album ?

Il sort le 24 janvier 2020. On y trouvera de l’autobiographie, des histoires du quotidien. Je décris la société dans laquelle j’évolue. Je parle des addictions aux technologies, à l’apparence, des attentats…

Vous avez trouvé votre son mais également votre tenue de scène : une combinaison bleue.

Pour monter sur scène, je voulais me créer mon bleu de travail pour être ultra à l’aise car j’adore danser. Plusieurs personnages qui ont marqué des périodes de ma vie, me sont venus en tête. Il y a d’abord Bruce Lee. Je regardais beaucoup ses films avec mon père quand j’étais gamine. Il y a également Louis XIV que j’ai pas mal étudié au conservatoire et qui portait très souvent du bleu. Et enfin Elvis Prestley. Je le voyais danser. Je me suis dit que sa tenue lui allait très bien. Ma combi, c’est un peu tout ça.

Quelle promesse faites-vous au public qui viendra vous voir à Vitré ?

Ils passeront une bonne soirée. Je pense qu’ils peuvent se reconnaître ainsi que leurs proches dans mes textes. Sur scène, j’aime beaucoup bouger. À un moment, je lâche prise.

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